Haka
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Ma vie, entre mes voyages et wallis et futuna . backpacker, voyage solo, tour du monde .
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Voici quelques photos de la maison dans laquelle j'ai habité durant quelques jours à Wellington. Il s'agit d'une maison construite par Mr Martin pour les 40 ans de sa famille, et la villa se trouve dans la Terrace Street.
Voici deux cartes de Wellington, une du centre ville et une de la région autour de Wellington.
Voici quelques endroits caractéristiques de Wellington
Cuba Street est la rue animée le soir à Wellington.
Il y a une librairie dans une ruelle perpendiculaire à Cuba Street dans laquelle on découvre des livres sur tous les sujets, et on y trouve aussi un rayon de livres en français.
Le soir, on sort avec Lisa dans un des bars pas très loin de Cuba Street...
Ce matin, je me lève tôt , vers 7h00 environ, pour pouvoir prendre le train à la gare de Wellington et aller jusqu'à Featherstone d'où j'essaierai de faire du stop pour rejoindre Martinborrough où m'attend mon nouveau vélo.
Il faut environ 1h45 pour aller de Wellington jusqu'à Featherstone.
La voie de chemin de fer longe la Baie de Wellington .
Juste en sortant de la gare, sur le parking, je demande à des gens qui prennent une voiture s'ils se dirigent vers Martinborrough. Ils acquiescent et acceptent de me prendre avec eux quand je leur explique que j'y vais pour récupérer mon vélo.
J'arrive à 9h45 à Martinborrough et une fois le vélo réglé, je peux partir à 10 heures pour Wellington mais cette fois-ci en vélo par un chemin spécialement dédié aux Mountain Bikes à travers le Rimutara Range.
Voici le trajet que je dois accomplir désormais ... environ 83 kilomètres.
C'est le Remutaka Cycle Trail que je vais parcourir.
Le chemin est bien indiqué par des panneaux un peu partout.
Le Rimutaka incline était un ancien parcours de train qui montait progressivement dans la montagne pour y évacuer du minerai au départ puis pour le transport de passagers.
Les voies ferrées ont pratiquement disparues mais c'est sur ce chemin que se trouve le trek en vélo.
Ici, on parlait de la petite Sibérie car il y faisait extrémement froid.
On passe ensuite dans un tunnel et j'ai la chance d'avoir d'autres cyclistes auprès de moi qui ont de bonnes lampes.
Enfin le sommet qui se trouve à plus de 300 mètres d'altitude.
Il y a un certain nombre de panneaux qui expliquent l'évolution du train dans la région.
C'est en 1987 que ce chemin pour les vélos a été réalisé.
A partir de là, on descend en pente douce jusqu'au niveau de la mer.
Ce matin, je fais de nouveau de l'auto-stop pour me rendre à Wellington et j'ai la chance de tomber sur un artiste peintre et scupteur qui m'emmène directement jusqu'au centre de Wellington.
C'est la statue de Gandhi qu'on voit devant la gare de chemin de fer de Wellington.
C'est là que j'attends Jonas qui pour sa part est venu en vélo.
Me voici avec mes deux sacs à dos.
Je vais faire un tour à la gare pour regarder les horaires des trains pour le lendemain, pour partir vers Martinborrough pour récupérer mon vélo.
Après avoir posé les affaires chez Lisa, une amie rencontrée quelques jours auparavant à Castle Rock et qui nous a invités chez elle, on va se balader en ville et on va vers la plus célèbre des rues de la ville, à savoir Cuba street avec ses nombreux bars et restaurants.
Puis c'est un petit tour en ville avant de rentrer à l'appartement.
Tiens ! On dirait une maison de style alsacien ou allemand...
Voici le couloir de l'entrée de la superbe villa où nous résidons.
Après avoir ramené le vélo hier soir à l'endroit où je l'avais loué, nous avons été invités par la famille du propriétaire à dormir chez eux, mais nous sommes partis ce matin pour prendre un bungalow à l'holiday park local.
Nous sommes allés nous balader dans le village qui est centrée sur l'activité vinicole.
Dans la journée, je suis allé aider l'hote qui nous avait hébergé pour transporter à la déchetterie des branchages qui avaient été coupés à proximité du magasin. Celà m'a permis de faire ainsi un tour de la région.
Puis je suis retourné au magasin de vélo pour demander un devis pour acheter le vélo que j'avais loué et j'ai décidé de l'acquérir. Mais étant donné que j'avais mon sac à dos, il me fallait tout d'abord aller à Wellington, déposer mon sac pour revenir le lendemain à Martinborrough pour prendre le vélo.
Voici les coordonnées de la société où j'ai loué le vélo puis acheté.
Sur le terrain du camping, on rencontre un italien qui voyage et qui dort dans sa voiture aménagée. C'est l'occasion d'échanger nos expériences vécues en Nouvelle-Zélande. Il est rare actuellement e rencontrer des voyageurs car les frontières du pays sont fermées en raison de la pandémie du covid.
On repart pour notre grande journée de bicyclette aujourd'hui qui nous ménera tout d'abord au phare du cap Palliser, puis à White Rock en bord de mer, puis on prendra la route par le village de White Rock pour rejoindre Martinborrough.
Je réinstalle mes affaires sur le vélo comme la veille, avec les tendeurs qui me permettent de bien fixer à la fois la tente et le sac de couchage.
En bord de route, on trouve cette ancre de bateau peut être échoué sur le rivage.
On longe des plages de sable noir et d'autres plages où la roche a été soumise au stress des plaques tectoniques.
On aperçoit alors des lions de mer.
Puis on continue à pédaler pour arriver enfin en vue du Phare du cap Palliser.
Ça y est , on est presque arrivé au phare, première étape de la journée.
On peut lire sur un panneau l'histoire du Phare du cap Palliser. C'est le 27 octobre 1897 que la lumière se fit voir pour la première fois depuis le sommet de ce phare.
Le phare en fer mesure 18 mètres de haut et est situé à 78 mètres au-dessus du niveau de la mer. La lumière s'allume deux fois toutes les 20 secondes et peut être vue jusqu'à 48 kilomètres de là.
C'est un générateur diesel qui permet de faire fonctionner la lampe de 1000 watts. C'était au départ avec de l'huile que la lumière apparaissait, puis avec un générateur diesel en 1954 et avec l'électricité depuis 1967.
Depuis 1986, tout est automatique et il n'y a plus de gardien de phare. C'est depuis Wellington qu'un ordinateur permet de faire fonctionner ce phare.
Il y a plus d'une centaine de marches à monter pour arriver enfin à la base du phare.
Il est 9 heures lorsque nous quittons Cap Palliser pour poursuivre notre périple.
Nous allons alors devoir passer 3 barrières et celà nécessitera de porter les vélos au-dessus des grilles. Pour cette raison, c'est très bien d'être 2.
Le paysage devient très sauvage et c'est une sensation de bout du monde que l'on ressent alors.
On aperçoit alors une immense dune de sable noir que l'on va devoir traverser pour poursuivre notre chemin.
On traverse enfin cette dune immense et on doit bien sûr pousser nos vélos car il est impossible de rouler sur ce sable noir.
A l'inclinaison des arbres, on peut se rendre compte de la force des vents qui balayent la région.
Une deuxième grille à franchir nous oblige à descendre de vélo et à enlever les bagages pour allèger le port des vélos.
Et encore une autre grille encore plus haute...
Ici, on a des stations, c'est à dire de grandes propriétés avec des élevages de moutons et de boeufs.
On arrive enfin à White Rock
On décide alors de faire la pause casse-croute et c'est bien agréable d'avoir déjà accompli cette partie du trajet qui nous a permis de découvrir des paysage fabuleux.
Il est environ 11h30 et on se dit qu'on aura largement le temps d'effectuer les quelques cinquante six kilomètres qui nous séparent de Martinborrough.
On devra alors suivre la route qui longe la rivière pour remonter vers le village de White Rock puis poursuivre jusqu'à Martinborrough.
Une fois arrivés au village, nous trouvons un point d'eau potable dans l'école du village qui est fermée actuellement en raison des vacances scolaires.
En quittant le village, la route s'élève et le vent devient de plus en plus fort.
On trouve ainsi des champs d'éoliennes qui tournent machinalement avec le vent qui s'engouffre entre les pales. A certains moments, je dois descendre de vélo car le vent est vraiment trop fort.
Puis on aperçoit les vignobles mais le vent redouble d'intensité à tel point qu'il est pratiquement impossible de rester sur le vélo. Il reste une dizaine de kilomètres à parcourir mais on vient de faire durant les deux dernières heures du 7 kms à l'heure.
C'est alors qu'un automobiliste ave son 4x4 s'arrête et perçoit alors les difficultés qui nous attendent. Il nous invite à prendre les vélos sur son véhicule et c'est ainsi que nous finirons les quelques derniers kilomètres en voiture.
A l'arrivée à Martinborrough, c'est encore un coup de chance car le loueur de vélos nous invite à venir dormir dans sa famille. Il fait partie de Warm Shower qui est une association dans le monde entier qui offre un gite aux cyclistes durant leurs escapades.
La dernière photo de la journée ... moi qui vient de Lorraine ...
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Comme d'habitude, je prépare la pancarte avec le nom de la destination où je me rends aujourd'hui, à savoir Martinborrough.
Mais je profite de ce début de matinée pour me balader à Featherston et je découvre ainsi le passé ferroviaire de la ville.
On trouve en effet en ville le Musée de la locomotive.
Puis je fais le stop dans la rue principale et ce sera assez rapide pour rejoindre Martinborrough.
La première stupéfaction est de trouver une rue de Strasbourg(e).
Je suis venu dans un but bien précis en fait à Martinborrough. J'ai entendu qu'il était possible d'y louer un vélo et de faire une boucle en allant tout d'abord voir les pinnacles et le cap Palliser, puis de se rendre à White Rocks , pour revenir par un autre chemin à Martinborrough. Je trouve le principal loueur de vélos de la ville et je prends ainsi une bicyclette avec des paniers de façon à pouvoir y mettre les affaires dont j'aurai besoin. Je laisse mon sac à dos dans le magasin et c'est parti.
Enfin, je vais pouvoir me balader en vélo pour deux jours avec mon pote Jonas et parcourir les routes du sud-est de l'île du nord de la Nouvelle-Zélande. Avant le départ, c'est la séquence " achats au magasin pour deux jours " et on prend tout ce qui est nécessaire pour 48 heures de balades.
Voilà à quoi ressemble le vélo avec les sacoches. Sur le porte bagages, j'ai ma tente et mon sac de couchage. J'ai sur le dos mon petit sac à dos.
Pour moi, c'est un essai et s'il est concluant, j'ai l'intention de demander si il me sera possible d'acheter le vélo après les deux journées de location.
Une fois tous les achats effectués, c'est le départ pour l'aventure. Voici le trajet pour la journée. C'est au village de Ngawi que nous dresserons nos tentes ce soir.
Sur le chemin, on s'arrête aux fameux Putangirua Pinnacles. J'ai tout de suite l'impression de me trouver en Cappadoce, en Turquie, où j'ai pu voir un paysage similaire.
On poursuit alors notre route en direction de Ngawi, en longeant le bord de mer.
Avant d'arriver à Ngawi et au phare de cap Palliser, on a un phare miniature sur le bord de la route et c'est bien sûr l'occasion d'immortaliser ce moment.
On arrive enfin à proximité du village de Ngawi et c'est là que l'on va rester pour la nuit.
Il y a une plage de cailloux à coté de l'endroit où on plante nos tentes. Le vent est très fort et on trouve un abri derrière un conteneur pour être à l'abri du vent.
Dans ce camping gratuit en bord de route, il y a des tables et des bancs et surtout des toilettes. En Nouvelle-Zélande, ce qui est incroyable est que quel que soit l'endroit où l'on se trouve, les toilettes sont toujours très propres et il y a toujours du papier.
Demain sera une autre journée.